Volo – Letras de Anvers
Le soleil se couche sur Anvers
On m’a roué de coups
Dépouillé de toutes mes affaires
Ça m’a fait un bien fou (bis)
L’arrivée en Belgique, j’étais déjà venu,
Que tu me quittes on m’avait pas prévenu
Là où c’est bien pérave c’est que c’est sur une lettre
Que tu as marqué tu me gaves, on se reverra peut-être
Le soleil se couche sur Anvers
On m’a roué de coups
Dépouillé de toutes mes affaires
Ça m’a fait un bien fou (bis)
J’ai pas su faire grand chose t’es pas là je me casse
Dans un bar, je m’assoie, je pleure, j’implose
Et bien vingt bonnes minutes se passent
Je m’accoude au comptoir, je sors mes cigarettes
Et je commence à boire, à me fracasser la tête
Le soleil se couche sur Anvers
On m’a roué de coups
Dépouillé de toutes mes affaires
Ça m’a fait un bien fou (bis)
Au bout d’un petit moment, j’ai envie de me confier
Je ne parle pas flamand, pas envie de me faire chier
Mais j’ai du mal m’y prendre, on me répond bête, on ne me répond pas
Et on me fait comprendre que j’ai pas la bonne tête, que j’ai rien à foutre là
Le soleil se couche sur Anvers
On m’a roué de coups
Dépouillé de toutes mes affaires
Ça m’a fait un bien fou (bis)
J’ai bien trop bu c’est sûr, je suis un peu con, j’insiste
On me montre que partout sur les murs c’est des injures des slogans fascistes
Là j’ai pété mon câble besoin de réconfort
J’ai renversé une table et gueulé un bon faf est un faf mort
Le soleil se couche sur Anvers
On m’a roué de coups
Dépouillé de toutes mes affaires
Ça m’a fait un bien fou
Aux adorateurs de Hitler
Obligé je l’avoue
Que la prochaine fois que je désespère
Je leur donne rendez-vous